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ESTHER

Une toile sonore sombre et industrielle

“Pantome” EP (POLAAR records) / promotion tous médias

Productrice autodidacte obsédée par les rythmes furieux et complexes, Esther joue des sous-genres entre musique club et musique à l’image, tordant les lignes de l’exercice de style. Elle dévoile aujourd’hui son deuxième EP « Pantome » sur le label POLAAR. Le résultat est sans appel : une musique cérébrale inclassable à la faveur d’un imbroglio savant de breakbeat, techno et electronica.

Entre fantômes du passé et anticipation d’un futur, elle explore un tout, de la poésie des mythes au drame dystopique. En titre de ce maxi, l’amalgame lexical « Pantome » invite le public à goûter les mots, sentir la couleur et voir les sons, pour une musique au langage universel. Dressant un tableau étrange, violent voire presque dérangeant, Esther exprime une volonté farouche de créer une touche sonore singulière. Brutal, racé et subversif, chaque morceau sonne le glas des mésaventures du passé, sans l’once d’une éclaircie dans son monde post-apocalyptique. Et si les berges du fleuve Styx avaient eu leur balade, cet EP en serait la bande son.

Elle s’exprime pour la première fois en 2019 avec son EP « Movement for the death of the kitten » sorti sur Doum Records, le label qu’elle a créé. Cet EP est étayé de deux clips vidéo libertaires et suffocants qui viendront nourrir son premier live (Bikini, Musée d’Art Contemporain de Toulouse, Festival Off du Printemps de Bourges). Invitée à rejoindre le collectif POLAAR en 2020, militant d’une bass française à large spectre, elle dévoile “App Green / Hedon Hack”. Cette sorti a reçu un soutien massif de la part des piliers de la scène électronique avant-gardiste comme Deena Abdelwahed (dans son dernier mix pour BBC Radio1) ou Osheyack de SVBKVLT (dans son récent podcast pour RA)

© photo Juliette Peyrat

MANIFESTO XXI

“La musique est froide, sombre, cinématographique. L’atmosphère post-industrielle, subversive. L’esthétique fashion, trash, et urbaine. C’est dans un obscur tunnel d’apocalypse technoïde que l’artiste nous entraîne. Les synthétiseurs orageux s’allient aux rythmiques breakées et au sound design texturé pour nous plonger dans une anxieuse nuit sans étoile.”

i-D

“Enfant d’une culture club hybride qui ne se donne plus aucune limite, Esther se laisse porter par des influences bass et sombres pour composer des textures industrielles qui hantent. Les corps bougent, sursautent, machinalement. La meilleure façon de la découvrir est encore de l’écouter. Sans modération.”

MIXMAG

“Sur son premier EP, Esther témoigne déjà d’une esthétique frappante avec une rythmique breakée et une atmosphère sombre. Ironiquement intitulé Movement for the death of the kitten, ce court format renferme un univers ténébreux mais dansant..”

SAVAGE THRILLS

She’s playing into the jaws of the EBM and Industrial heritage of Juan Atkins and Nitzer Ebb while encapsulating the Berghain’s clubbing scene with a meticulous sense of modernity. The relentless kick drums are cold, bleak, martial, stabbing. An ominous gem from Doum Records.”